L’accès à bord de cette supercar ne se fait pas comme dans une voiture courante. Il faut se baisser pour ne pas se cogner la tête contre la porte à ouverture en élytre, puis enjamber le ponton de la coque carbone. D’une fois en place dans le siège fixe, c’est le pédalier et le volant qu’il faut régler pour trouver la bonne position. Le volant est muni de nombreux boutons, et sa partie supérieure comporte un shift light. Face à moi, un large écran remplace les traditionnels compteurs.
Une fois le contact mis, on sélectionne le sens de marche de la boîte auto par une molette située sur le tunnel central. Une pression au centre de celui-ci la fera basculer en mode manuel, afin de commander les 7 rapports de la boîte à double-embrayage par le biais des palettes au volant.